
Affaires institutionnelles
Communiqués de presse
La coopération entre les institutions européennes et les États membres de l’UE est une condition essentielle pour affronter les crises actuelles
« La présentation qui a été faite ce jour à la Commission des affaires constitutionnelles visait à établir des relations constructives entre la présidence slovaque et une commission importante du Parlement européen »
Ivan Korčok
« La présentation qui a été faite ce jour à la Commission des affaires constitutionnelles visait à établir des relations constructives entre la présidence slovaque et une commission importante du Parlement européen » a déclaré le secrétaire d’État Ivan Korčok. Il a également abordé des sujets politiquement sensibles comme la réforme de la procédure électorale du PE et l’élargissement des compétences du Parlement européen en matière d’enquête, deux questions qui occupent une place importante dans l’ordre du jour de la Commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen (AFCO).
« Je tiens à saluer l’approche pragmatique de la présidente de la commission, Madame Danuta Hübner, dans les questions suivies par la commission » a souligné le secrétaire d'État Ivan Korčok. L’intervention du secrétaire d’État avait été précédée par un déjeuner informel avec la présidente polonaise de la commission Mme Danuta Hübner et les principaux coordinateurs des groupes politiques au sein de la commission : György SCHÖPFLIN pour le Parti populaire européen (PPE), Mercedes BRESSO pour le Groupe de l’Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates (S&D), Maite PAGAZAURTUNDÚA RUIZ pour l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ALDE) et Gerolf ANNEMANS pour le Groupe Europe des Nations et des Libertés (ENF).
Les discussions entre le secrétaire d’État Ivan Korčok et les membres de la Commission des affaires constitutionnelles ont également porté sur les conséquences politiques de la décision des citoyens du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord de sortir de l’Union européenne. Dans ce contexte, le secrétaire d’État a rappelé tout particulièrement le sommet informel des chefs des 27 États membres de l’Union européenne qui devrait entamer le « processus de Bratislava. » Celui-ci se traduira par toute une série de mesures dans des domaines clés comme les migrations, la sécurité et l’économie, en se donnant pour objectif de restaurer la confiance des citoyens dans le projet européen commun.
La réunion a démontré que, dans la situation complexe à laquelle l’Union européenne fait face, la coopération étroite et constructive entre tous les acteurs importants, États membres et institutions européennes, s’impose comme une nécessité.